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Arrivé au terrain, le vent est changeant ... mouais ... ça promet !
Christophe parti en éclaireur me confirme à la radio : " ça bouge ! "
Au sol, la manche à air change de sens et d'intensité.
Je patiente en dépoussiérant ma machine et en faisant un peu de gonflage, parce que les montagnes russes et moi, ce n'est pas le grand amour.
Le temps passant, les conditions semblent s'améliorer lentement et me motivent à me préparer pour décoller.
Pour faire bref, me voilà en l'air.
A cette heure, les ombres sont grandes.
Le ciel est presque calme et sans vent.
Christophe revient de son vol pour faire un bout de chemin ensemble.
Christophe retourne se poser avant son rendez-vous médiatique : une future vedette !
Mince, j'aurais dû lui faire signer un autographe !
Jeu d'ombres
Le château de Passereau vu il y a quelques jours mais de l'autre coté
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Vol matinal vers Flogny la Chapelle (15 septembre 2018) - franckenlair.overblog.com
Ce matin, le ciel est encore bleu, l'air est sec et la motivation au top ! Seul bémol, le peu de vent agitant à peine la rubalise, est teinté d'une douce plaisanterie en changeant de sens pendan...
http://franckenlair.overblog.com/2018/09/15-septembre-2018.html
Le dit château en dernière image de la page
Conclusion de cette image : les vaches n'apprécient pas le foot.
Le Serein est quasiment à sec.
Tout en étant à la même altitude et sans modification du relief (de toute façon, je suis largement au dessus), l'air s'agite de nouveau me laissant dans l'incompréhension. De plus, il commence à se faire tard pour continuer. Je décide de faire demi-tour et me retrouve avec le soleil en plein dans les yeux. Le retour sera aveuglant !
J'aperçois un grand panache de fumée plaquée au sol. En réalité, il s'agit de la poussière soulevée par un tracteur.
Quelle est cette coutume locale de faire des cadres aux champs ?
Après avoir été aveuglé pendant une vingtaine de minutes par le soleil (et même en me servant d'une mes mains en pare-soleil ou en changeant de direction), je me sens un peu groggy.
Pendant quelques minutes, je serpente au dessus du paysage pour me ressourcer, puis me pose.