Durant tout l'après-midi, le ciel a été encombré par de gros nuages laissant présager que voler en fin de journée, ne serait pas possible malgré les prévisions météos affirmant le contraire.
Pourtant, les nuages fondent en cette fin d'après-midi pour enfin prévoir un vol. Ouais !
Ayant pris un léger retard, j'arrive sur le terrain alors que Christophe vient juste de décoller.
Pendant que je me prépare, Christophe sillonne les environs.
A la radio, d'autres paramotoristes occupent déjà le ciel; mais où ?
C'est parti !
Au loin, j'aperçois une montgolfière flirtant avec le sol.
A la vue de ma vitesse, je me dis qu'il me faudra du temps pour la rejoindre, mais comme elle est poussée par le vent, notre rencontre en sera d'autant plus rapide. Ouf !
Finalement, la voilà.
Christophe descend pour faire connaissance.
Et maintenant, sous vos yeux attendris, leur rencontre en images :
Finalement, chacun a poursuivi son chemin ... quelle tristesse ... la montgolfière est restée insensible aux charmes du paramoteur (incompatibilité de voix ?).
Les ondulations des coteaux de la forêt d'Othe apparaissent au loin. (Pas bien visibles sur la photo)
Nous continuons toujours face au vent bien régulier.
Au sol, une barre droite indique la piste privée à Chailley.
La même vue du sol et qu'il est possible de traverser après vérification du ciel et de la piste, depuis un passage pour piéton (photos juillet 2020)
Turny et son château bien caché derrière les arbres.
Sormery
Il est temps de prendre le chemin du retour qui sera beaucoup plus rapide que celui de l'aller. Mon GPS indique désormais une vitesse de 63 km/h !
Les trains de marchandises vont moins vite que les TGV, et sont donc plus faciles à prendre en photo.
Je me pose enfin après avoir parcouru 70 km.
Zut, il me manque quelques minutes pour passer le cap des deux heures de vol.